Rédacteur
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Qu’on soit fan de manga ou tout simplement joueur, la série “Gambling School” ou “Kakegurui” en japonais se visionne en bande dessinée mais aussi sur Netflix. Comme pour les jeux de casino, on peut rapidement devenir addict de cet anime décliné sous plusieurs versions: en Live action ou avec un complément nommé “Gambling School Twin”.
Si on en juge par les formations en sorcellerie dans le sillage d’Harry Potter, s’inscrire à une école de joueurs doit coûter très cher! Et si on met de côté le coup de génie d’Homura Kawamoto de mêler univers du jeu et thème scolaire, on peut légitimement se demander si de tels établissements existent pour apprendre à décrocher tous les jackpots?
Avec les élèves au caractère très prononcé de cette académie vieille de 122 ans, on n’est pas loin du “grinder”, ou joueur de Poker professionnel, pour qui l’appât du gain prime sur les règles du jeu. En général, ce type de joueurs adore se rendre sur les Live Casino pour retrouver l’atmosphère cosy mais néanmoins lucrative d’une table de jeu.
Dans l’anime “Gambling School”, on sait qu’une partie palpitante de “chifoumi” ou de Texas Hold’Em va commencer dès que les rideaux rouges se ferment, et en piste! Ce qui frappe en premier lieu dans ce manga exécuté de main de maître par Toru Naomura, c’est la prolifération des personnages tous plus combatifs et sadiques les uns que les autres!
D’ailleurs, on sent tout de suite en entrant par la grande porte dans cette académie prestigieuse qu’il va y avoir du grabuge entre la “bishojo” (jolie jeune fille) Yumeko Jabami et Mary Saotome. Accompagnée d’un joueur qu’elle a battu au jeu et qui, en guise de prix à payer, est devenu son “larbin”, à savoir Suzui, Mary ou Meari Saotome est aussi retorse que Yumeko est déterminée à gagner!
Il faut dire que dans ce manga de type “Shonen” datant de 2014, il faut toujours payer ses adversaires à coup de milliers de yens et de bluff, sous peine de devenir esclave ou “élève non conforme” qui ne peut plus cotiser au Conseil des élèves (CDE). Une solide hiérarchie est ainsi mise en place sans autre connaissance que l’argent réel. À part les affrontements ludiques, aucun cours n’est dispensé, ni aucune discipline sportive, mais on peut quand même jouer au badminton dans les jardins de l’école!
Même si elle est de plus en plus virtuelle sur le net, on peut apprendre à créer une entreprise iGaming dans la réalité ou vivre de ses revenus de joueur pro, ce qui n’est déjà pas une mince affaire si on vit en famille! Rappelons qu’au Poker, même les plus grands perdent autant qu’ils gagnent comme le champion Daniel Negreanu ou Gus Hansen qui s’est refait une santé avant de rejoindre dernièrement l’équipe Winamax! Et bien sûr, on peut toujours lire de bons ouvrages sur la manière de réaliser au mieux des paris sportifs!
Heureusement que sur les casinos en ligne, les parties de machines à sous ne sont pas aussi violentes qu’à Hyakkao puisqu’on peut miser à partir d’un petit 20 centimes pour un tour. Dans cet institut japonais, seuls les meilleurs joueurs à la bankroll conséquente sont respectés tandis que les plus faibles au jeu sont affublés du surnom de “Pochi” pour les garçons et “Mike” pour les filles. Ce qui différencie surtout les élèves entre eux, c’est leur compte en banque. Ce qui est loin, somme toute, d’un premier dépôt raisonnable sur une plateforme en ligne!
Dans l’Académie des jeux de hasard et d’argent (JHA) de l’anime “Gambling School”, on ne nous offre pas de bonus d’arrivée comme sur les casinos online ni de bonus sans wager, c’est-à-dire sans condition de mise supplémentaire... Bien au contraire, c’est d’emblée “que le meilleur gagne!”. Même les costumes des élèves sont au couleur des cartes de jeux: noir, rouge et blanc! Et l’atmosphère est également très stricte, ce qui n’est certainement pas compatible avec le fait de jouer pour le plaisir, mais qui s’apparente davantage au jeu dit “pathologique”!
Personne ne nous appelera “chien-chien” après avoir perdu au jeu de la Roulette au Live Casino, même s’il est vrai que dans les jeux d’argent réside une grande part de psychologique. C’est d’ailleurs, tout ce qui fait leur attrait! Devenir un looser au casino est une figure qui fait vendre comme on peut le voir à travers l’histoire fascinante de Stu Ungar, le prodige du Poker et du Gin-rami, dans le livre “Joueur né”. C’est sur cette corde sensible que s’appuie “Gambling School” où la perte et le gain au jeu résonnent avec notre ascenseur émotionnel!
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